Une équipe de chercheurs du Québec a joué un rôle déterminant dans l’identification d’un nouveau gène du cancer du sein lors d’une étude internationale menée par l’Université de Toronto et l’Université de médecine de Poméranie en Pologne. 

L’étude, publiée en ligne aujourd’hui dans la revue Nature Genetics, démontre comment des mutations du nouveau gène, appelé RECQL, sont fortement liées à l’apparition du cancer du sein chez deux populations de femmes polonaises et québécoises. 

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