Budget : 10 459 731,00 $

Début : 01 avril 2013 Fin : 31 mars 2017

Vers l’implantation d’un dépistage prénatal plus sécuritaire : une nouvelle solution pourrait voir le jour au sein du système de santé

 

Chaque année, près de 10 000 Canadiennes enceintes subissent une amniocentèse pour dépister certaines anomalies génétiques comme la trisomie 21. Cette intervention présente un risque non négligeable, conduisant à la perte de 70 fœtus en santé. Récemment, des chercheurs ont découvert que l’ADN du fœtus présent dans le sang maternel peut servir à dépister des anomalies génétiques.

 

Ce projet propose de réaliser une étude indépendante pour comparer la performance et l’utilité de nouvelles méthodes génomiques de dépistage prénatal utilisant une simple prise de sang et qui pourrait remplacer les amniocentèses. De plus, l’équipe identifiera les modalités optimales d’implantation de cette technologie au Canada grâce à des outils d’aide à la décision destinés aux couples, ainsi que des outils de formation pour les professionnels de la santé. Ainsi, l’étude permettra d’offrir au système de santé canadien la technologie qui convient le mieux pour qu’à terme, toutes les Canadiennes puissent bénéficier d’un dépistage prénatal non invasif dans le cadre des soins cliniques courants.

 

Ce projet implique une équipe interdisciplinaire de vingt-sept chercheurs provenant de douze universités : huit au Canada, quatre en Europe ainsi que cinq décideurs fédéraux et provinciaux dans le domaine de la santé.

 

Pour en savoir plus sur ce projet, cliquez ici

 

 

Codemandeurs et utilisateurs :

Daniel Reinharz Université de Montréal
Vardit Ravitsky Université de Montréal
France Légaré Université Laval
Jan Friedman University of British Columbia
Aly Karsan University of British Columbia
Timothy Caulfield University of Alberta
Ubaka Ogbogu University of Alberta
Jo-Ann Johnson University of Calgary
Julian Little Université d’Ottawa
Mark Walker Université d’Ottawa
Brenda Wilson Université d’Ottawa
Guy Rouleau Université de Montréal
Anne-Marie Laberge Université de Montréal
François Audibert Université de Montréal
Yves Giguère Université Laval
Jean-Claude Forest Université Laval
Jean Gekas  CHU de Québec
 Anik Giguère CHU de Québec 
Daryl Pullman  Memorial University 
Gert Matthijs  Université de Leuven, Belgique
Mario  Pazzagli  Université de Florence, Italie 
Pamela Pinzani  Université de Florence, Italie 
Michel Vekemans  Hôpital Necker, Paris, France 
Lyn S.  Chitty  Institute of Child Health, London, Royaume-Uni
Nicholas  Lench  Great Ormond Street Hospital, London, Royaume-Uni
Laird Roe Santé Canada
Ross Duncan Agence de santé publique du Canada
Wei Luo Agence de santé publique du Canada
Juan-Andrès Leon Agence de santé publique du Canada
Amanda Skoll University of British Columbia