Dans le cadre d’un consortium international ayant effectué une étude sur le cancer du sein, de l’ovaire et de la prostate auprès de 200 000 personnes, le Pr Jacques Simard, chercheur au Centre de recherche du CHU de Québec et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en oncogénétique de l’Université Laval, a eu une participation active dans la découverte des « fautes d’orthographe » dans l’ADN liées au cancer du sein. Ces « fautes », qui correspondent à ce qu’on appelle des variations génétiques, sont directement impliquées dans le risque de développer cette maladie.