Une équipe de chercheurs de l’Université de Montréal et de l’Institut de cardiologie de Montréal a développé un nouvel outil génétique qui permet de définir le risque pour un individu de développer une maladie coronarienne.
« On a validé que les outils fonctionnent vraiment bien dans notre population. On est capable de différencier des individus malades et non malades », explique Guillaume Lettre, auteur principal d’une étude publiée hier dans Circulation : Genomic and Precision Medicine. M. Lettre est professeur à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal et chercheur à l’Institut de cardiologie de Montréal.
La recherche suggère que cet outil génétique pourrait être déployé à grande échelle pour informer les Québécois de leur risque cardiaque.