Des chercheurs du Canada, du Royaume-Uni, de Suède et des États-Unis ont découvert plus de 30 gènes qui ont une incidence majeure sur un anticorps causant l’asthme et des allergies. Selon l’étude menée par l’équipe de recherche internationale parue en ligne dans le numéro de 18 février de la revue spécialisée Nature, certains de ces gènes pourraient fournir des cibles pour des médicaments destinés à traiter ces maladies.
Les chercheurs, dont quatre sont rattachés à l’Université McGill, ont découvert que les gènes sont concentrés en éosinophiles, des globules blancs qui provoquent l’inflammation des voies respiratoires chez les sujets asthmatiques. Les gènes indiquent le moment où les éosinophiles sont activés et modulés de sorte de causer les conséquences les plus marquées.
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